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OÙ SONT PASSÉS TOUS LES ESCROCS DE L’ÉCOLOGIE ? | GPTV

Mike Borowski

Le 30 juillet 2025, Mike Borowski dévoilait comment météo, climat et écologie punitive formaient un triptyque de manipulation savamment orchestrée.

L’imposture climatique à l’épreuve du réel

L’été 2025 contredisait les scénarios alarmistes des prophètes de l’apocalypse verte. Pas de canicule ni de sécheresse généralisée, mais des températures fraîches et un ciel souvent couvert. Alors que, d’ordinaire, à la moindre chaleur, les médias écologistes s’emballent, cette fois, le silence est frappant. Le récit apocalyptique ne colle plus avec la réalité. Et avec lui, toute l’idéologie culpabilisante et autoritaire qu’il soutient se fissure.

Depuis vingt ans, chaque épisode météo extrême est instrumentalisé pour renforcer le dogme : l’homme détruit la planète, il faut donc le contraindre, le taxer, le surveiller. Quand les faits démentent le discours, plus personne ne s’indigne. Car l’écologie médiatique ne vise pas la science, mais l’ordre moral. Ce n’est pas le climat qui compte, mais la peur et la soumission qu’il peut susciter.

Météo contre climat : le grand malentendu entretenu

Chaque été, la confusion entre météo et climat est exploitée. Un orage devient une preuve, une sécheresse un verdict, une canicule un argument politique. Pourtant, ces phénomènes relèvent de la météo, locale et ponctuelle, quand le climat se mesure sur des décennies. Mais entretenir la confusion alimente l’émotion, donc l’adhésion.

Le paradoxe est habile : quand il fait chaud, c’est la faute au climat. Quand il fait frais, ce n’est “que” la météo. Ainsi, tout devient confirmation du dogme. Le 28 juillet, la Méditerranée est anormalement fraîche : aucun expert, aucun débat. Si elle avait été chaude, les médias en auraient fait un scandale. Ce deux poids, deux mesures montre que l’écologie dominante n’est pas une science, mais une foi, qui ne tolère aucun doute.

Une peur savamment construite pour préparer le contrôle

La peur climatique sert à faire accepter l’inacceptable. Sous prétexte de sauver la planète, les restrictions s’accumulent : interdictions de circuler, zones à faibles émissions, taxes carburant, surveillance via compteurs connectés. L’écologie devient le prétexte d’un projet politique de contrôle social.

Derrière les slogans verts, chaque loi “écologique” rogne un peu plus les libertés. Le pass carbone, déjà testé localement, en est l’exemple : chacun reçoit un quota d’émissions. Dépassé ? Sanctions. Le tout sous couvert de justice climatique. Mais cette logique repose sur la coercition algorithmique : décider qui peut se chauffer, voyager, consommer. Une gestion numérique des corps, dissimulée derrière des valeurs vertueuses.

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